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par Michael Hall

La programmation neuro-linguistique (PNL) a été créée par Richard Bandler, John Grinder, Frank Pucelik, ainsi que deux groupes de personnes moins connues entre 1972 et 1976 au Kresge College du campus de l’Université de Santa Cruz en Califonie. De nombreuses sources ont nourri ce que ces pionniers faisaient (des sources qui ont contribué à ce que la PNL est aujourd’hui). Certaines de ces sources originales sont connues et évidentes. (Fritz Perls et la Gestalt, Virginia Satir et les Systèmes Familiaux, Milton Erickson et l’hypnose). D’autres sources sont moins connues (Korzybski et la Sémantique Générale, George Miller et la Psychologie Cognitive, Noam Chomsky et la Grammaire Transformationnelle, Gregory Bateson et les systèmes, Abraham Maslow et Carl Rogers et le Mouvement du Potentiel, Robert Dilts et Steve et Connaire Andreas). Le premier article est consacré aux apports de Fritz Perls et Virginia Satir à la PNL; Le deuxième article est consacré à Gregory Bateson et Milton Erickson. Le troisième article présente les apports de d’Alfred Korzybski, Noam Chomsky, Georges Miller à la PNL. ; Le quatrième article décrit les contributions d’Abraham Maslow et de Carl Rogers, Steve et Connirae Andréas, et Robert Dilts à la PNL

Les contributions d’Abraham Maslow et de Carl Rogers à la PNL

Lorsque j’ai écrit au sujet des contributions de Fritz Perls, Virginia Satir et Gregory Bateson au développement de la PNL dans les articles précédents, j’ai souvent noté qu’ils étaient tous des ´leaders’ de la seconde génération du Mouvement du Potentiel Humain (MPH). Cela est extrêmement significatif de par leur relation à Maslow et Rogers et au MPH. Je l’ai noté dans un article de 2005 au sujet de «l’Histoire Secrète de la PNL». C’est au moment où j’ai compris que les mêmes personnes qui se faisaient modéliser par Bandler et Grinder travaillaient et vivaient ensemble à Esalen au début des années 60.

Imaginez cela ! Ils vivaient et travaillaient ensemble à Esalen en tant que leaders du Mouvement du Potentiel Humain. Savez-vous ce que cela signifie ? Tout d’abord, cela identifie la psychologie dans laquelle ils étaient impliqués comme étant séparée du Béhaviorisme et de la Psychanalyse, les deux premières «forces» en psychologie. Ils étaient impliqués dans la troisième force de la psychologie. Cette terminologie vint de Maslow lui-même et a été cristallisée dans le livre La Troisième Force: La Psychologie d’Abraham Maslow (1970) par Frank G. Goble.

Qu’est-ce que la psychologie de la PNL ? Oui, c’est une Psychologie Cognitive qui, en cela, provient des leaders du mouvement de la Psychologie Cognitive: George Miller et Noam Chomsky. Elle est cognitive dans la mesure où nous opérons dans le monde en utilisant nos modèles mentaux ou cartes et comme Alfred Korzybski l’a noté «la carte n’est pas le territoire». Mais plus essentiel que cela, la psychologie de la PNL est une Psychologie Humaniste ou Psychologie d’Auto-Actualisation.

La Psychologie Humaniste opère majoritairement à partir de l’idée que dans chaque être humain réside une quête d’excellence et que même lorsque nous faisons des choses considérées comme mauvaises, cela ne reflète pas notre vraie nature. Tout comportement  est guidé par une intention positive et nous faisons du mieux que nous pouvons à partir de notre compréhension mentale et nos compétences. La méchanceté humaine vient de l’ignorance, de la désinformation, du désespoir, du manque de développement, etc. Nous possédons en nous toutes les ressources dont nous avons besoin pour faire face aux défis de l’existence. Pour y parvenir, nous devons véritablement satisfaire nos besoins et nous comprendre nous-même puis développer des stratégies efficaces.

Toutes ces idées essentielles se retrouvent dans «Les présupposés de la PNL». A l’origine compilées par Robert Dilts, ces idées résument les prémisses-clé à partir desquelles la PNL opère. Quelle était la source initiale de ces présupposés ? Ah! Voilà une chose surprenante. J’ai cru un temps que ces présupposés étaient des prémisses ou des hypothèses que les premiers développeurs de la PNL avaient rassemblé à partir du travail de Perls, Satir, Erickson, Bateson et Korzybski. Puis, lorsque j’ai pris le temps de revenir aux écrits originaux de Maslow et de Rogers, je trouvais que presque tous ces présupposés étaient déjà présents. Ces présupposés provenaient du MPH (Mouvement du Potentiel Humain) et constituaient des prémisses de ce type de psychologie.

Si il y a autre chose qui en PNL nous renvoi aux contributions de Maslow et de Rogers, il faut évoquer la modélisation. C’est Abraham Maslow qui quarante-cinq ans avant Bandler et Grinder modélisa ses deux incroyables mentors. Il commença par étudier Max Wertheimer qui co-fonda la Psychologie Gestalt et Ruth Benedict qui fonda l’Anthropologie Culturelle. Il prenait des notes à propos de leurs comportements et caractéristiques et à partir de ses données sur ses «bonnes études humaines», il débuta, il entreprit avec ses étudiants  une étude de 30 ans sur l’épanouissement des personnes. Ainsi, l’idée même de modélisation des individus hors du commun n’a pas commencé avec la PNL mais avec Maslow.

Alors qu’il écrivait son ouvrage Psychologie Anormale, un travail important sur les comportements inadéquats de la nature humaine, c’est à dire à propos du côté malade, Maslow commença à s’intéresser au côté sain. Mais celui-ci existait-il ? Modéliser Ruth et Max lui permit d’y répondre.

La PNL n’a certainement pas commencé à partir de rien. De nombreuses forces y ont contribué. La PNL n’a pas inventé de nouvelles prémisses inconnues. La  création de la Programmation Neuro-Linguistique d’aujourd’hui est issue du Mouvement Du Potentiel Humain.

Voici quelques preuves supplémentaires du lien entre la PNL et le Mouvement du Potentiel Humain. Considérons le lieu de naissance de la PNL, le Kresge College. Créé en 1971, comme une alternative et une faculté expérimentale sur le campus de l’Université de Californie à Santa Cruz, il aurait reçu le nom de Carl Rogers s’il n’avait pas fallu adopter le nom de son riche donateur.

«L’université avait été créée sur le concept de démocratie participative afin d’encourager un fort sentiment de communauté. La vision était que l’université soit pour les étudiants un lieu de créativité, de communauté et d’individualité.»  (Site internet de l’UCSC)

«Robert Edger, le recteur du Kresge College … décida de développer et de diriger une expérience innovante au sein d’une structure académique en utilisant le Kresge Collège comme un test. L’expérience consistait à donner un modèle de vie et d’apprentissage au Kresge- un modèle sur la manière de développer une communauté en tenant compte des conditions limitantes d’une faculté …» (Grinder Origins, p.175)

«Les groupes … un thème populaire sur le campus du Kresge College … La faculté avait institué un processus de groupes T souvent décrit comme un atelier  de sensibilisation.» (Carmen Bostic-St. Clair, Origins, p. 241)

Les décès de Maslow en 1970 et de Perls ont été de tristes pertes pour la PNL. Carl Rogers vécut jusqu’en 1980 (tout comme Erickson et Bateson) et la PNL débuta dans sa propre faculté. Cependant aux débuts de la PNL (1971-1976), Rogers n’était jamais venu sur le campus. A l’époque, il enseignait à l’Université à Chicago.

Les contributions de Steve et Connirae Andréas à la PNL

Si j’ai écrit sept articles sur les principaux contributeurs au développement de la PNL, contributeurs sur lesquels Bandler, Grinder et Pucelik se sont appuyés, il y a une autre source que je ne peux ignorer: Steve et Connirae Andreas. En fait, selon moi, ce sont les premières contributions de Connirae et de Steve Andreas qui ont grandement contribué à faire connaître la PNL. Ce sont principalement les livres qu’ils ont publié sur les séminaires de Bandler et Grinder qui ont fait parler d’eux et de la PNL. Et c’est à cause d’un fait singulier – vous pourriez lire ces livres! Cela implique-t-il que vous ne pouvez pas lire La Structure de la Magie ? En effet, ce ne sont pas des livres très lisibles. Si l’existence de la PNL avait dû dépendre de ces livres (La Structure de la Magie) la décrivant, elle aurait eu une mort prématurée!

Ce sont les livres ultérieurs, et en particulier les quatre «livres de compte rendus de séminaires» des Andreas, qui ont commencé à répandre l’information sur la Programmation Neuro-Linguistique. Le premier livre de PNL que j’ai acheté et lu (en fait “dévoré”!) Était Frogs Into Princes (1979), puis Trance-formations: programmation neuro-linguistique et la structure de l’hypnose (1981) – une belle réussite commerciale avec 350.000 exemplaires  dans les premières années! Aucun autre livre de PNL avant Robbins n’avait obtenu ces chiffres. Puis, Recadrage: PNL et la transformation du sens (1982), et encore Un cerveau – pour changer (1985).

Le contenu de ces livres provenaient des formations et des ateliers que Richard et John ont donné, et surtout des enregistrements de ce que Richard faisait au cours de ces ateliers. De façon similaire à ce que Robert Dilts faisait depuis 1975, ils ont commencé à séquencer et systématiser l’organisation du matériel PNL. Ils ont également fait preuve d’un bon sens des affaires et ont ensuite créé le premier centre de formation PNL qui a duré un an ou deux. Des décennies plus tard, le «NLP Comprehensive» de Boulder dans le Colorado devint un centre de formation bien établi- où Steve et Connirae présentèrent Richard Bandler à plusieurs reprises pour présenter son travail, et plus tard John (qui déclencha alors un procès à Bandler à propos de la propriété du sigle NLP aux États-Unis, mais c’est une autre histoire.)

Après la publication des livres sur des comptes rendus de séminaires (1979-1982), Steve et Connirae ont commencé à écrire leurs propres livres et à développer de nouveaux modèles. Change Your Mind and Keep the Change (1987), puis Heart of the Mind: Engaging Your Inner Power to Change (1989). Dans  Change Your Mind Richard Bandler a écrit ceci:

“Steve et Connirae sont parmi les rares qui ont utilisé les techniques de modélisation PNL pour développer de nouveaux modèles utiles, et cela est évident dans le chapitre 8,” Une stratégie pour répondre à la critique … “(1987, p. v, italique ajouté)

Maintenant, ce qui rend les Andreas particulièrement fascinants pour l’histoire de la PNL et ceux qui ont contribué à son développement, c’est l’histoire de Steve avant la PNL. Avant la PNL, il avait un nom différent, et sous le nom de John O. Stevens, il était un penseur et développeur clé de la Gestalt Therapy, un Gestalt Thérapeute bien connu, et même célèbre! En outre, John O. Stevens avait également publié plusieurs livres sur la Gestalt Therapy. Avant même le début de la PNL, il a édité et publié Awareness: Exploring, Experimenting, Experiencing (1971). Puis, l’année où le premier livre sur la PNL a été publié, il a publié Gestalt Is (1975). En outre, il l’a fait par l’intermédiaire de la Gestalt Publishing Company, Real People Press, que sa mère, Barry Stevens avait créé des années plus tôt.

Ainsi, l’histoire de la Gestalt dans la PNL avec Fritz Perls remonte aux relations qu’il avait avec Barry Stevens, Real People Press, et John O. Stevens qui est devenu Steve Andreas. Par exemple, le livre de Barry Stevens, Don’t Push the River (1970), raconte l’histoire de sa vie avec Fritz et leur temps passé ensemble lorsqu’il a déménagé d’Esalen au Canada pour y établir un kibboutz Gestalt. Pendant cette période, Fritz, à l’image du titre autoproclamé, “un vieil homme sale” (mentionné dans son autobiographie, In and Out of the Garbage Can) avait de nombreuses relations.

Il est intéressant de noter que quand la PNL a débuté, Fritz Perls était déjà mort. Pourtant, avant cela, quand Steve Andreas a fait son entrée dans le monde de la PNL en 1977, il avait connu personnellement Fritz Perls – quelque chose que Bandler, Grinder ou Pucelik n’avaient pas pu faire. En revanche, Steve Andreas a appris la Gestalt Therapy directement auprès de Fritz Perls.

« Il a appris la gestalt thérapie de Fritz Perls et a combiné la Gestalt avec l’enseignement de la psychologie et des sciences sociales au Diablo Valley College, en Californie, pendant sept ans. De là est sorti son livre d’expériences de sensibilisation à la Gestalt, Awareness: Exploring, Experimenting, Experiencing (1970). “( Transforming Your Self: Becoming Who You Want to Be, 2002, p.274)

Et il y a plus de liens historiques (entre la gestalt et la PNL). Steve a reçu sa maîtrise en psychologie à l’Université Brandeis en 1961 où il avait étudié avec nul autre qu’Abraham Maslow lui-même. Donc s’il y avait quelqu’un pouvant être le lien direct entre le Mouvement du Potentiel Humain et la PNL, c’était Steve Andreas. Puis après avoir étudié avec Maslow, il a étudié avec Carl Rogers! Il y a quelques années, j’ai interrogé Steve sur sa relation avec Esalen après sa découverte de la PNL. Il a dit être retourné à Esalen pour y présenter des cours sur la Gestalt, mais pas sur la PNL. [Ceci dit, plusieurs des premiers développeurs de la PNL ont présenté la PNL à Esalen, James Eicher l’a fait en 1978 (Origins, p.119) tout comme Robert Dilts et Terry McClendon.]

Les contributions de Robert Dilts à la PNL

Parmi les contributeurs importants de la PNL, aussi significatifs que Bandler, Grinder et Pucelik, il y a Robert Dilts. Il a considérablement mis en forme les contours de la PNL. Il a participé au second groupe de Santa Cruz en 1975. En étudiant directement auprès de John Grinder et de Gregory Bateson, Robert commença immédiatement à écrire sur la PNL. Ses premiers écrits: The Meta-Model and the Socratic Method of Philosophical Inquiry. remontent à la fin 1975. Cet article est maintenant dans le livre Applications of NLP (1983). En fait, Robert a été le premier à mettre le Méta-Modèle en avant, sous forme de liste ordonnée, telle que nous la connaissons aujourd’hui. Par contre, les distinctions du Méta-Modèle qui se trouvent dans les deux premiers livres La Structure de la Magie (1975/1976) sont dispersées un peu partout. Robert a organisé les 11 distinctions en 2 catégories:

Rassembler les informationsEtablir et Identifier les limites
1) Omissions
2) Index de référence non spécifié
3) verbes non spécifiés
4) Nominalisations
5) Quantifieurs universels
6) Opérateurs Modaux
7) Équivalence complexe
8) Présupposés
9) Cause-Effet
10) Lecture des pensées
11) Origines perdues

Voilà un excellent exemple de ses nombreuses contributions-clés : sa capacité à réunir, organiser et classer les choses de manière à ce que l’on s’en souvienne facilement. L’année suivante, en 1976, il écrivit un article sur la “Programmation Neuro-Linguistique, Volume I (1980) désormais dans l’ouvrage Roots of NLP (1983) et qui devint Programmation Neuro-Linguistique, Volume I (1980). Cet article académique délimitait les contours de la PNL comme une épistémologie basée sur des systèmes ou principes cybernétiques. Pour l’écrire, il utilisa massivement le travail de Bateson en le citant beaucoup (voir pages 22-27). Il y présenta le Méta-Modèle en l’organisant (comme ci-dessus) et y ajouta la douzième distinction: 12) Omissions comparatives. Il créa également une autre catégorie et y mit trois distinctions linguistiques: (malformations sémantiques) cause-effet, lecture des pensées, Origines perdues.

Robert écrivit que «la PNL est une discipline orientée vers les résultats» et détailla l’état présent et l’état désiré qu’il nomma par la suite «l’algorithme de la PNL pour le changement» (dans l’article Méta-Modèle Live, p. 31-32). Entre ces deux espaces, il induisit la notion de ressource comme mécanisme de transition. Plus tard, il écrivit « ainsi, l’état présent par rapport à l’état désiré constitue une zone de recouvrement» (p.33). A partir de là, il créa par la suite le Modèle SCORE qui est devenu aujourd’hui une base de travail pour tout personne qui pratique la PNL.

Par la suite, il réunit un ensemble de critères sur les conditions de bonne formulation d’un objectif. Je vous invite à comparer ses six critères de 1980 avec les 18 que nous avons aujourd’hui en Meta-coaching.

1) Le résultat doit être établi en termes positifs.
2) Le résultat doit être testable et démontrable par une expérience sensorielle.
3) L’état désiré doit être initié et maintenu par le client.
4) Le résultat doit être contextualisé explicitement et de manière appropriée.
5) L’état désiré doit préserver les  effets bénéfiques positifs de l’état présent.
6) L’état désiré doit être écologique.

C’est Robert qui établit la première liste des présupposés de la PNL. On me demande souvent qui l’a fait et j’ai toujours supposé que c’était Robert. Maintenant, j’en ai la preuve. Cela se trouve dans son ouvrage «Applications de la PNL en Thérapie Familiale et en Négociation Interpersonnelle» (1980). Il y fit une liste de neuf présupposés avec commentaires pour chacun.

1) La carte n’est pas le territoire.
2) L’esprit et le corps font partie du même système et s’affectent l’un l’autre.
3) Les aptitudes individuelles sont une fonction du développement et du séquencement des systèmes de représentation.
4) Le sens de toute communication est la réponse qu’elle provoque, indépendamment de l’objectif du communicant.
5) Les êtres humains sont capables d’apprendre par un seul essai.
6) Les individus disposent de toutes les ressources dont ils ont besoin pour obtenir les résultats attendus.
7) Le comportement est orienté vers l’adaptation: les individus font les meilleurs choix qu’ils peuvent à n’importe quel moment, avec la présupposition que chaque comportement détient une intention positive.
8) En communication, il n’y a pas de substitut à des canaux sensoriels propres, actifs et ouverts pour connaître la réaction que vous suscitez à tout moment.
9) L’élément le plus flexible d’un système est celui qui contrôle ou catalyse ce système.

La collection des premiers articles (1975-1981) qui sont compilés dans deux ouvrages Roots and Applications, montre que Robert a appliqué sa modélisation PNL à différents domaines tels que les affaires, la Vente, la Méthode Socratique, l’Education, la Thérapie Familiale, la Création Littéraire et la Santé. Par la suite, il fut chargé de rédiger  NLP: Volume I — The Study of the Structure of Subjectivity  (1980) puis dans les années qui ont suivi, il a écrit 30 ou 40 ouvrages, y compris l’importante «Encyclopédie de la PNL». Si Robert Dilts n’avait rien fait d’autre que d’écrire et développer la littérature de la PNL, ses contributions en tant que chercheur auraient été considérables et larges. Mais il a fait bien plus. Contrairement aux autres fondateurs, Robert s’est toujours rendu disponible pour des conférences et des congrès

En 1997, il organisa avec ses partenaires (Suzi Smith, Tim Hallbom, Judith DeLozier) la «Visionary Leadership Conference » réunissant 200 intervenants en PNL pendant le procès de Bandler. Trois ans plus tard, il a sponsorisé le « Projet Millennial » pour réunir les personnes et en 2016, il a animé le 40ème anniversaire de la PNL pendant ses stages d’été à Santa Cruz.

Depuis le début, Robert a modélisé de nombreuses expériences. Il a commencé par les Questions Socratiques, la vente, la création littéraire, la survie au cancer, les stratégies de guérison, les stratégies du génie (Einstein, Disney, Freud, etc.), le leadership, etc. ce qui en fait encore aujourd’hui l’un des plus importants contributeurs de la PNL. Il a récemment modélisé Steve Jobs au cours du 40ème anniversaire de la PNL à Santa Cruz. Les données se trouvent dans son dernier ouvrage «Entrepreneurs de la Prochaine Génération, Modélisation du Facteur de Succès, Vol. I (2015)».

Auteur : L. Michael Hall, Ph.D. Neuro-Semantics Executive Directo meta@acsol.netNeurons Meta Reflections Neurosemantic-History of NLP

Bibliography:

Andreas, Steve. (1991). Virginia Satir: the Patterns of her Magic, (1991), Palo Alto, CA: Science and Behavior Books, Inc.
Bateson, Gregory. (1972).  Steps to an ecology of mind.  New York: Ballantine Books.  Reprinted (2000), University of Chicago.
Hall, L. Michael. (2003).  The Bateson Report.   Clifton, CO: Neuro-Semantic Publications.
Hall, L. Michael. (2008).  Meta-States.  Chapter 17 “Meta-States Epistemology.”
Hall, L. Michael. (1997).  NLP Going Meta.  Chapter 7.  “Bateson’s Logical Levels of Learning.”
Korzybski, Alfred. (1933/ 1994).  Science and Aanity: An Introduction to Non-Aristotelian Systems and General Semantics, (5th. ed.).  Lakeville, CN: International Non-Aristotelian Library Publishing Co.
Perls, Fritz.  (1973).  The Gestalt Approach and Eye Witness to Therapy. CA: Science and Behavior Books.
Perls, Frederick; Hefferline, Ralph; Goodman, Paul.  (1951).  Gestalt Therapy: Excitement and Growth in the Human Personality.  New York: Dell Publishing Co.
Satir, Virginia.  (1972).  Peoplemaking.  Palo Alto, CA: Science and Behavior Books, Inc.
Satir, Virginia; Bandler, Richard; Grinder, John. (1976).  Changing with Families.  Palo Alto, CA: Science and Behavior Books, Inc.

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