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La PNL de 3ème génération (2/2) par Robert DILTS. transcription de Jean Luc Monsempès

Robert Dilts couleurDeuxième partie de la transcription de la conférence de Robert DILTS du 28 janvier 2006 à Paris, dans le cadre du congrès international 2006 de NLPNL. La traduction de la conférence a été assurée par Deborah Bacon. Retrouvez la première partie sur le site de Institut Repere. – Le développement de la PNL de troisième génération a débuté dans les années 90 et continue d’évoluer encore aujourd’hui. La PNL de 3ème génération propose des applications génératives et systémiques qui visent des niveaux d’expérience plus élevés en lien avec l’identité, les buts profonds, la mission, et qui peuvent concerner non seulement les individus mais également les systèmes humains, familiaux, trans- générationnels ainsi que les organisations.

La PNL de troisième génération

 La PNL de 3ème génération fait appel à des techniques qui s’intéressent au « champ » dans son ensemble et a des principes tels que ceux de l’auto organisation, des archétypes, et des nouvelles positions perceptuelles avec la 4 position. La nouvelle PNL qui émerge, comme vous l’avez entendu aujourd’hui, est en lien avec des choses de l’ordre du spirituel, de la systémique, de l’identité. On s’occupe d’aspects du fonctionnement humain difficiles à imaginer il y a 20 ans.

Cette nouvelle PNL, qui s’intéresse à des niveaux d’expérience plus élevées (l’identité, la vision, la finalité, le rôle…) prend racine dans la 2ème génération de la PNL (avec les croyances et valeurs…), qui elle-même prend racine dans la première génération de la PNL (les capacités, des comportements, l’environnent)

Avec la 1ère génération de la PNL on posait les questions suivantes : qu’est ce qu’on veut et comment on va l’obtenir ? On était très focalisé sur le fait d’atteindre un objectif et de résoudre un problème particulier. Avec la 2ème génération on a commencé à se poser la question du pourquoi : pourquoi veut-on cela ?  Pourquoi s’empêche-t-on cela ?  Aujourd’hui on se concentre sur de nouvelles questions : qui sommes-nous et pour quoi ?

L’évolution des rôles pour accompagner le changement

Et il est important de prendre conscience que pour pouvoir soutenir les individus au niveau de la vision et de l’identité, notre rôle va aussi évoluer. Aux premiers jours de la PNL, on intervenait comme « guide », pour  aider les individus à trouver leurs chemins et résoudre leurs problèmes. On intervenait également comme « coach »,  comme un entraîneur sportifs et au niveau des comportements, en se posant les questions : qu’est ce que cette personne veut faire ? Quels feed-back lui donner pour l’aider à réussir ce changement ?  Sur mes transparents le mot coaching, n’a pas le même usage que celui utilisé en France.
Puis le rôle a évolué vers celui de « l’enseignant » qui apporte un savoir permettant à un individu de construire sa carte mentale et d’aller là ou il souhaite se rendre : de quelles connaissances cette personne a-t-elle besoin pour réaliser ses objectifs ? Un enseignant n’est pas obligé de faire ce qu’il explique si il sait expliquer ce qu’il enseigne.

On sait aujourd’hui que le Coaching avec un grand « C » ne fonctionne pas comme cela, on sait que les ressources se trouvent chez le client. On aide le client à trouver lui-même ses ressources, à les faire émerger pour qu’il trouve ses réponses.
Avec le développement de la 2ème génération de la PNL, nous avons appris à être davantage des « mentors », qui écoutent tout autant qu’ils dirigent. Un mentor motive en renforçant les croyances et valeurs. Un mentor a de l’influence, autant par ce qu’il a lui même vécu, que par ce qu’il enseigne au client. Un mentor doit être un bon exemple. Nous devons être un exemple de ce que nous enseignons

Avec la PNL de 3ème génération, on se concentre sur la question de l’identité et de l’éveil. Nous ne sommes pas seulement des guides, des enseignants ou des mentors, mais nous devenons également des « sponsors » et des « éveilleurs ». Sponsoriser et parrainer signifie voir ce qui est unique dans les capacités de notre client. Comme l’a dit Albert Camus « Tant qu’un individu n’a pas été vu et béni par une autre personne, cet individu n’existe pas encore vraiment ». En tant que praticien de la PNL de 3ème génération, il n’est plus seulement question d’ancrages ou d’identification de nouvelles croyances, mais il s’agit plutôt de la capacité à voir profondément l’autre, à lui offrir un espace dans lequel il peut évoluer, se relier avec sa profonde raison d’être. Il ne s’agit pas seulement de définir l’objectif et de le réaliser, mais plutôt de grandir en sagesse, en authenticité et en prise de conscience de nos relations.

Les spécificités de la PNL de 3ème génération

Avec la PNL de 1ère génération, on s’occupait principalement de l’aspect cognitif, et la PNL était une science cognitive. On étudiait comment fonctionne le mental et le système de représentation et ses différentes structures.

Avec la PNL de 3ème génération, on considère qu’il existe trois esprits (trois « mind » en anglais) : l’esprit « cognitif », « somatique » et du « champ »
Dans le travail que je fais avec Stephen GILLIGAN, on parle « d’esprit somatique », pour dire qu’il y a un esprit dans le corps, et cela ne signifie pas uniquement que l’esprit cognitif se sert des représentations kinesthésiques ; ou que ma tête possède un programme et que mon corps réagit comme un robot à ses représentations. Ce qu’on veut dire, c’est qu’il y a dans notre corps un esprit différent mais aussi important que celui de mon esprit cognitif. Le corps peut avoir des pensées et des états de conscience que l’esprit cognitif ne peut pas avoir. Il y a des états de conscience qui sont propres au corps et il y a des problèmes que je ne peux résoudre que par l’esprit du corps et pas seulement par l’esprit cognitif. La PNL a toujours dit qu’il existe une connexion entre l’esprit et le corps :  « il y a un ordinateur et une machine qui sont connectés » et l’ordinateur dit à la machine ce qu’il y a à faire. On va donc programmer le corps pour faire ce qu’on veut qu’il fasse ». Dire que le corps pense de manière distincte de celle de l’esprit cognitif est bien différent. Il ne s’agit pas seulement des signaux que le corps adresse au cerveau et que ce dernier traite.

Je veux dire que l’énergie des informations est traitée par le corps d’une manière tout à fait différente de ce que pourrait faire l’esprit cognitif. L’idée d’un esprit ou d’une conscience propre au corps, représente un changement très important dans la PNL de 3ème génération. L’idée de l’utilisation de la sagesse du corps, ou la prise de conscience que j’ai tout autant à penser avec mon corps qu’avec mon esprit cognitif sont des changements importants.

On parle également de l’esprit du « champ » qui n’est ni dans mon corps, ni dans ma tête, mais qui existe au travers de mes interactions avec autrui. C’est donc un esprit qui n’est pas localisé dans l’espace et dont je capte des idées de manière différente de celle utilisée par mon esprit cognitif ou somatique. Combien d’entre vous ont expérimenté le vécu d’une créativité différente selon que vous soyez en interaction ou seul ? Quelque soit le temps et les efforts réalisés, vous n’allez pas avoir les mêmes idées créatives si vous êtes seul ou avec les autres. Quels sont ceux qui, en tant que formateur, ont eu l’expérience d’avoir été surpris de la réponse apportée à la question d’un participant ?  Vous avez établi un bon rapport avec le groupe et vous donnez une réponse qui vous surprend ! Vous ne saviez pas que vous saviez et vous vous dîtes : « attendez je vais noter cela ! ». Avez-vous déjà vécu cela ?  C’est un exemple de ce que nous appelons « l’esprit du champ ». Ce que nous appelons les archétypes appartiennent à l’esprit du champ. L’esprit du champ est présent parmi nous en tant que culture ou savoir de groupe, et pas en tant que contenu propre à une seule personne, et il constitue un réel et puissant facteur d’influence. L’esprit du champ n’est donc pas localisé dans l’espace. Je me permets de penser des pensées que je ne penserais pas tout seul.

Le principe fondamental de l’esprit somatique est le « centrage », c’est-à-dire être dans son corps.
Quand nous perdons notre centre, toute sortes d’ombres commencent à émerger. La cruauté et l’ambivalence surviennent lorsque l’esprit cognitif fonctionne sans être relié en même temps au centre somatique. Je travaille souvent avec des organisations, des entreprises. L’un des grands problèmes rencontré est que les gens pensent sans leur corps. Quand nous pensons sans notre centre somatique, il est très difficile d’être écologique ou d’avoir de la compassion, de la bienveillance, et on peut prendre des décisions qui ne prennent pas en compte la réalité de notre existence physique. Etre centré dans son corps est un élément important de la PNL de troisième génération.

Le principe fondamental de l’esprit cognitif, c’est le « sponsoring » et le parrainage.
Sponsoriser ou parrainer signifie, tenir ou porter différentes parties, parfois en conflit, d’une même identité. Gregory Bateson dit que la sagesse vient du fait d’être ensemble, et de pouvoir confronter honnêtement nos différences, mais sans tenter de changer quoi que ce soit ; juste tenir ou porter et être avec ;  et puis la réponse émerge à partir de là, une réponse qu’on ne peut pas imaginer avec la pensée logique. Sponsoriser ou parrainer, c’est pouvoir tenir ensembles, des différences ou des éléments en polarité.

Le principe fondamental de l’esprit du champ, c’est la relation ou les systèmes.
Depuis quelque temps, certains pays asiatiques se sont ouverts à la PNL. On pourrait dire que c’est parce que ces pays là s’occidentalisent de plus en plus. Je pense également que c’est dû au fait que la PNL devient de plus en plus systémique, de plus en plus respectueuse, par l’utilisation du champ et de la relation. Je ne me pose pas seulement la question de ce que je veux pour moi et du comment l’obtenir. Je recherche également un sentiment lié à quelque chose de plus sage et de plus englobant. Avec la PNL de 1ère et 2ème génération, on se focalisait surtout sur les questions suivantes : est-ce que c’est utile ? …est-ce que cela marche pour obtenir ce que je veux ou réparer ce problème ? La préoccupation était que cela marche ! Mais avec cette perspective là, il y a une ombre qui émerge, et cette ombre continue d’accompagner la PNL. Cette ombre est la manipulation, la superficialité, l’égoïsme. Et en même temps, ce qui était merveilleux avec cette PNL, était sa simplicité d’utilisation et son efficacité. Quelqu’un a dit  « si on rend quelque chose tellement simple qu’un idiot peut s’en servir, alors les idiots vont s’en servir. Si la PNL a la réputation d’être manipulatrice, superficielle, la PNL de 3ème génération prend tout cela et l’intègre dans un champ plus vaste, en y apportant d’autres valeurs comme la générativité. La question n’est pas seulement de savoir si j’ai atteints mon objectif, mais aussi de savoir ce que je fais de différent, si je suis capable d’avoir des pensées nouvelles. Il y a donc une évolution avec une augmentation de son propre pouvoir personnel. Le praticien n’est pas uniquement là pour résoudre un problème ou celui de quelqu’un d’autre, mais pour aider le client à grandir, à retrouver un pouvoir personnel, à avoir plus de créativité. Le praticien de la PNL va aider l’autre à trouver ses propres réponses. On se focalise aussi sur les connexions, les relations, les questions de l’esthétique, de l’équilibre, de l’harmonie et de la beauté. L’important n’est pas seulement d’atteindre un objectif, mais de s’occuper de sa propre transformation pour devenir quelque chose de plus grand.

Voici quelques uns des objectifs de la PNL de 3ème génération. Les questions centrées sur la réalisation d’un objectif ou la résolution de problèmes (quel objectif et comment faire ?), deviennent avec la 3ème génération : de quelle façon puis-je grandir, évoluer et être différent de ce que j’étais avant ?… comment puis-je me connecter plus profondément aux autres, et d’une manière qui nous enrichit mutuellement ? Quand je pense aux trois esprits, je cite Gregory Bateson qui disait « l’esprit individuel est immanent », c’est-à-dire qu’il émerge du corps. Il y a cet esprit somatique qui vient du corps qui n’est pas seulement dans le corps mais dans les circuits de communication à l’extérieur du corps. Et il y a un esprit plus vaste dont l’esprit individuel est un sous système ou partie. Et c’est cela qu’on appelle « le champ ». Gregory Bateson disait que cet esprit plus large est comparable à Dieu. Cet esprit là reste immanent, c’est-à-dire qu’il émerge du système total, social, planétaire et de l’écologie planétaire. Donc il y a ce champ qui est créé par notre société, par nos interactions et dans lequel il y a une énergie et une intelligence dont nous faisons partie et dont nous profitons aussi.

Que signifie cette PNL de 3ème génération sur un plan pratique ?

Les nouvelles manières d’aborder l’apprentissage, le leadership ou le coaching.

Dans les domaines de l’apprentissage, du leadership, du coaching, les questions vont être de nature différente. Il ne s’agit plus de demander : quel est votre problème ?  Quel est votre objectif ?  Et de répondre : voici une technique et comme je sais mieux que vous, parce que je suis formé à la PNL, je vais vous dire quoi faire…. Avec la PNL de 3ème génération, appliquée par exemple à l’apprentissage, il s’agit d’éveiller celui qui vient apprendre. Il ne s’agit pas uniquement d’enseigner les structures ou les connaissances, mais de faire évoluer la conscience de celui qui apprend.

Pour le leadership, l’objectif n’est pas seulement d’amener les dirigeants à mieux diriger ou mieux communiquer, mais également d’aider les dirigeants à prendre plus conscience du champ auquel ils appartiennent. Sponsoriser ceux qui dirigent leur permet de trouver leur propre voie, de devenir des « méta leadership », c’est-à-dire des leaders pour d’autres leaders. Ce n’est plus un leadership dans lequel j’exerce mon propre pouvoir pour influencer les autres, mais dans lequel je vais amener les autres à trouver leur propre pouvoir, éveiller les autres à leurs propres capacités. Il y a une autre forme de leadership qui s’appelle le leadership « serviteur » ou le leader rend le travail des autres plus facile, au lieu d’ordonner et de contrôler. Il convient de faire la différence entre ce qu’on appelle la culture du leadership et le culte du leadership. Dans la culture du leadership tout le monde aide tout le monde à trouver son propre pouvoir et chacun travaille avec d’autres leaders. Dans le culte du leadership, il y a un individu tout puisant et les autres le suivent. La culture est fondée sur la diversité, sur le fait de permettre à chacun de trouver son pouvoir. On est sur la générativité. Les cultes sont fondés sur l’obéissance et le suivi des normes.

Dans le cadre du coaching, on cherche à faire ressortir les ressources et la grandeur du client et d’amener ce dernier à s’enrichir et pas simplement l’aider à atteindre ses objectifs.

Les nouvelles manières d’utiliser les outils de la 1ère et 2ème génération.

Se synchroniser sur l’autre est un élément du rapport. Avec la PNL de 3ème génération, on présuppose que le rapport existe déjà dans le champ, et que les comportements ne sont que la manifestation du rapport qui est déjà présent. Pour ancrer, on peut simplement toucher le client pour comme on le faisait avant, ou proposer au client de créer lui-même son ancre. Avec la PNL de 3ème génération, l’ancrage devient bien plus qu’un simple mécanisme de stimuli-réponse car il questionne la relation entre les personnes. Pour résoudre des conflits il est possible de faire, comme auparavant, une négociation cognitive entre les deux parties pour obtenir simplement une troisième option. Avec la PNL de 3ème génération, l’objectif est de tenir les éléments qui semblent en opposition dans un champ plus vaste de réponses. L’important est d’être centré, de tenir et sponsoriser ces deux opposés, sans essayer de s’en débarrasser ou d’essayer de les homogénéiser, afin de s’ouvrir à une gamme beaucoup plus vaste de possibilités. L’important est de voir le conflit non pas comme un problème, mais comme une possibilité générative d’un très grand nombre d’options.

Les nouvelles techniques ou nouveaux outils de la 1ère et 2ème génération.

De nouveaux outils et nouvelles techniques proviennent de la PNL de 3ème génération. Ils sont beaucoup plus simples, vont aussi beaucoup plus loin et sont plus profonds. J’espérais avoir suffisamment de temps pour vous faire une démonstration et vous donner le goût de cette PNL de 3ème génération, mais le temps ne le permet pas.

Les personnes qui influencent le développement de la PNL de 3ème génération

Nombreux sont ceux qui, par leurs travaux, influencent la PNL de 3ème génération et contribuent à sa création. Les conférenciers qui ont parlé aujourd’hui : G. FORTUNATO, Jan ARDUI, Alain MONAERT, font parti de ceux qui, parmi d’autres, repoussent les frontières de la PNL. Et eux-mêmes sont guidés par un certain nombre d’influences. Citons quelques personnes dont les travaux enrichissent la PNL de 3ème génération.

Steve GILLIGAN, avec ses recherches sur la relation au soi.
Gabrielle ROTH, avec son travail sur le processus des 5 rythmes, un apprentissage qui passe par le corps, la danse et non par l’aspect cognitif de notre fonctionnement
Ken WILBUR, avec ses apports sur la notion d’étude intégrale et le lien à l’esprit du champ.
Bert HELLINGER, avec les constellations familiales et les champs familiaux. Richard MOSS qui travaille sur la transformation trans-personnelle.
Donald EPSTEIN, un ostéopathe qui travaille sur les réseaux du rachis. Il a écrit un livre sur les 12 étapes de la guérison avec la notion de champ qui entoure le corps et qui émerge du corps.
Ruppert SHELDRAKE, avec sa notion des champs « morphogéniques » qui transmettent les connaissances par des voies non physiques.
Elkart TOLLE, avec le pouvoir du moment présent.

Je trouve qu’il est épatant d’amener toutes ces idées nouvelles dans la PNL. Certaines personnes veulent faire des séparations entre la PNL et d’autres approches, en disant qu’elles sont distinctes. Pour moi, en amenant toutes ces choses dans la PNL, c’est la PNL qui grandit. Et vous pouvez l’expérimenter au cours des séminaires que j’anime sur la PNL de 3ème génération, ou avec Deborah Bacon sur le pouvoir de la qualité de présence dans notre relation à l’autre ou au monde, et également avec la formation sur la modélisation des facteurs de succès dans la création d’un projet professionnel ( Sucess Factor Modeling)

Transcription par Jean Luc Monsempès de la conférence donnée à NLPNL

Robert Dilts : Enseignant, consultant et chercheur, il fait partie du petit groupe de personnes à l’origine des outils utilisés dans la PNL. Il est depuis les années 75 un des principaux développeur de la PNL et de ses applications aux domaines de la santé, de l’éducation et des affaires. Il a appliqué les principes et les techniques de modélisation pour créer de nombreux processus, comme la réempreinte, l’intégration des croyances en conflit et le cycle de changement de croyances. Il est l’auteur de nombreux ouvrages de référence sur la PNL Passionné par l’étude de la théorie et de la pensée systémique depuis sa rencontre avec Gregory Bateson, Robert Dilts a donné à la PNL la dimension systémique qui lui faisait défaut. Ses derniers travaux sur la PNL de troisième génération concernent la communication, l’apprentissage et le changement aux niveaux de l’identité et de la vision. Les applications en sont génératives et systémiques et s’adressent autant à la croissance des individus que des organisations. www.nlpu.com

Les formations du parcours PNL : du technicien PNL au maître praticien PNL

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