Nous contacter

78 avenue du Général Michel Bizot
75012 PARIS

Nous appeler

Benjamin Franklin venait de dire à une dame qui venait le consulter que trop de richesses gâtaient parfois le bonheur. Benjamin Franklin s’aperçut que sa visiteuse secouait la tête d’un air incrédule.
Alors prenant une pomme dans un panier plein de fruits qui se trouvait là, il appela un enfant qui jouait dans la pièce voisine et lui fit présent de la pomme. L’enfant pouvait à peine la tenir dans sa petite main, Franklin lui en offrit une  seconde, que le bambin, tout joyeux, prit de l’autre main.
Puis, choisissant une troisième pomme, plus belle encore que les 2 premières, il la tendit de la même façon.
L’enfant serra alors ses 2 mains pleines contre sa poitrine, et essaya de prendre et de retenir le dernier fruit avec l’aide des deux autres. Mais ses efforts furent inutiles ; la troisième pomme tomba sur le  tapis, et il fondit en larmes.

Alors Franklin se tourna vers la dame : « Voici, dit-il, un petit homme qui a trop de richesses pour pouvoir en jouir. Avec 2 pommes, il était heureux, il ne l’est plus avec 3. »

Y a-t-il dans votre vie des domaines où vous avez trop de richesses ?

Qu’est ce qui est assez pour vous, à propos de l’amour, la reconnaissance de votre travail, la reconnaissance de vos convictions, la reconnaissance de votre singulatité, les biens matériels, la solitude ?

Partager:

administrator