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Une interview de réalisée par Siam Pope

Steve Gilligan PhD et Robert Dilts ont au départ fait leurs études ensemble, et ont été tous les deux au démarrage de la PNL avec Richard Bandler et John Grinder. Robert a continué à développer sa vision de la PNL, en travaillant à travers le monde sur des domaines concernant la thérapie, l’ éducation et les affaires. Steve fut l’élève de Milton Erickson avant de développer sa propre approche de la « Relation à Soi » en psychothérapie. Aujourd’hui ces deux pionniers du développement personnel rassemblent leur expertise, explorent des aires de chevauchement de deux secteurs passionnants.

Q : Vous avez déjà travaillé avec Robert Dilts. Qu’y a-t-il de particulier pour vous dans le fait d’animer avec lui cette formation sur le « Génie et Soi Génératif » ? .

SG : – Robert et moi refaisons un long chemin. Nous étions tous les deux des étudiants de l’Université de Santa Cruz, et tous les deux des étudiants de Bandler et de Grinder. J’ai quitté Santa Cruz en 1977, et je n’ai pas vraiment eu de contact avec Robert pendant presque 20 ans. Nous sommes tombé l’un sur l’autre lors d’un congrès à Orlando en Floride, et avons rattrapé le temps perdu à propos de ce que chacun faisait. Nos étudiants communs nous disaient à tous deux au fil des années, combien nos travaux respectifs étaient complémentaires, et nous avons découvert avec plaisir qu’il en était ainsi. Aussi avons-nous décidé de mener des enseignements ensemble, ce que nous avons fait périodiquement depuis lors.
Un point de jonction clé se trouve dans les idées de « génie » et de « générativité. » Robert a réalisé des travaux vraiment remarquables sur de grands génies, et j’avais travaillé depuis longtemps sur cette idée d’un Soi Génératif. Aussi c’est un thème qui excite vraiment notre curiosité à tous les deux.

Q : Quelle serait la qualité émergente particulière résultante de cette association ?

SG : une meilleure compréhension multi-niveaux de ce que signifie être un génie dans n’importe domaine important pour vous – le travail, les relations, la famille, le mariage, les arts, la santé, les changements politiques, etc. Chacun de ces domaines contient plein de défis et de difficultés.
L’idée globale de générativité ou de génie pose la question du comment vous mettez sur pieds un certain contexte profondément créateur, et également un ensemble d’aptitudes, pour gérer des problèmes et des opportunités sans y être coincé. Nous disons alors que le problème devient la solution ; cela signifie que tout ce qui se présente constitue une opportunité de créer, de grandir et de changer. Dans le travail que j’ai développé sur le Soi Génératif, nous disons que quelque soit la taille du problème, le Soi est toujours plus important – le champ du Soi possède à la fois plus de largeur et plus de profondeur que le problème. Quand vous pouvez vous centrer et vous étendre dans le champ Génératif, vous trouvez une nouvelle capacité à penser, à ressentir, et de réponse. C’est ce qui fait partie de ce que nous appelons le « génie. »

Q : On pourrait dire que votre approche de la transe profonde et que la solide et détaillée approche cognitive de Robert sont presque en polarité – comment voyez-vous cela ?

S.G : Hé bien, je ne dirais pas tout à fait cela. Je ne pense pas que ce soit le cas, même si en surface il peut sembler que l’approche de Robert soit plus orientée détail et la mienne plus orientée processus. En fait, je pense que la PNL Systémique et la compréhension basée sur la notion de champs constituent des contributions majeures de Robert et de Judith DeLozier à la PNL C’est quelque chose de profondément implicite dans tout ce que fait Robert, et toutes ses descriptions des aptitudes techniques sont enracinées dans cette compréhension contextuelle. Alors que je peux sembler mettre plus l’accent sur la notion de champ et de « l’écoute de l’inconscient », tout ceci reste sur des niveaux multiples d’aptitudes subtiles pour organiser et guider l’attention. Rester présent d’une manière créative dans des conditions difficiles exige à la fois une vision large et une attention aux micro-détails. Je pense que Robert et moi mettons l’accent profondément sur les même choses, même si nous pouvons avoir des manières complémentaires de dire cela.

Q : De quelle manière anticipez-vous le plaisir d’enseigner avec lui ?

S.G. – Robert comprend si profondément ce que je suis – et c’est une joie d’éprouver cela. Je suis impressionné par sa façon si proche d’écouter ce que je dis ; et puis quand nous enseignons à nouveau ensemble, je suis encore plus surpris de ce qu’il a compris et intégré de tout ce qui avait été dit. De même, je suis toujours stupéfait de la manière de s’exprimer de Robert. Je ne sais pas si c’est l’influence irlandaise, mais je pense qu’il pourrait s’exprimer indéfiniment d’une manière créative. Il semble puiser ses idées sur l’affirmation de la vie dans une source inépuisable, et il est si heureux et engagé à partager ces idées avec d’autres ! Peut-être qu’une autre manière de dire cela est que Robert possède un ego remarquablement faible, couplé à une immense intelligence. C’est un plaisir de partager une conversation avec une telle personne.

En termes de style pédagogique, nous nous complétons mutuellement. Il conduit l’animation pendant un moment et je l’accompagne en jouant la rythmique de la guitare, puis je deviens le chanteur principal, et parfois nous chantons des harmonies ensemble. C’est d’ailleurs une métaphore (rire) ; nous ne chantons pas réellement ensemble. Mais de toute façon, le tout est clairement plus grand que la somme des parties.

Q : Avez-vous une idée prédéterminée de là ou vous allez pendant le séminaire ?

S.G : j’ai toujours un plan et je n’arrive jamais tout à fait à l’endroit prévu – ce qui je pense fait partie du processus créatif. On doit être complètement préparé et concentré, avec des idées claires sur la direction des choses. Mais vous n’êtes jamais le seul point de vue par rapport au sujet, aussi vous devez également permettre aux autres influences de contribuer au processus, ce qui fait que cela dérange vos plans du processus. Quand on demandait à Errol Flynn, le grand « fier-à-bras » du cinéma, comment il tenait une épée, il répondait qu’il avait toujours imaginé qu’il tenait un oiseau. S’il serrait trop fortement, plus d’oiseau ; s’il tenait de façon trop lâche, plus d’oiseau. J’essaye de pratiquer ce principe « pas trop serré, pas trop lâche», dans n’importe quelle activité créatrice, y compris pendant l’enseignements d’un séminaire. Trop serré dans le suivi rigide du plan, il n’y a aucune créativité ; trop lâche, il n’y a aucune rigueur ou cohérence.

Q : Pourriez-vous en dire plus à propos de cette idée d’un sponsor, dans la Relations à Soi, faisant le voeu solennel d’être présent et constant ? C’est très intense, un grand engagement.

S.G. Notre vie est une grand engagement, mais qu’en faites-vous ? La chose importante est de reconnaître que l’horloge tourne, c’est seulement une question de moments qui passent avant que votre vie se termine. Ainsi, quand je travaille avec quelqu’un, la question est « Quel est votre place ? A quoi ressemble votre vie ? » Si vous ne posez pas cette question primaire, vous vous exposez seulement à laisser plus de place à une transe de moindre qualité et à être très malheureux et improductif. Et alors vous mourrez, et vous pierre tombale dit, « il a mangé beaucoup de pommes chips, et puis il est mort». Ou, « il s’est beaucoup plaint, et puis il est mort». Ou, « elle a beaucoup regardé la télévision, et puis elle est morte». La vie est pleine de personnes comme cela. Nous invitons vraiment les gens à prêter l’attention, avec férocité, tendresse, et espièglerie, aux modèles les plus profonds de votre vie.

Écoutez ce que les parents disent aux jeunes enfant, faîtes attention à, faîtes attention, faîtes attention ! ! Nous demandons aux gens de faire ceci avec une grande qualité, de manière passionnée et créatrice. Nous demandons aux gens de remarquer les incroyables manières différentes d’organiser et d’utiliser leurs Soi cognitifs. La plupart d’entre avons appris à penser au Soi cognitif principalement en termes de critiques, de distances, de jugements et de non engagements envers le monde – ou à travers un consumérisme (dans lequel nous nous relaxons paressons), ou un fondamentalisme (nous attaquons ce qui est différent) ou un intellectualisme (nous devenons froids et en retrait).
Si vous observez des génies ou des personnes génératives, elles tendent à organiser leurs soi cognitifs de façon à ce qu’il soit entièrement incarné, passionné, clair, sobre, et engagé à apporter dans le monde plus d’expériences d’affirmation sur la vie. Quand nous perdons la trace de ces traditions de « génie », les traditions négative de vie et déshonorantes vont dominer. Regardez le monde autours de vous – l’humain passionné reflue.
Cela me rappelle les mots de W.B. Yeat «The second coming »

« Turning and turning in the widening gyre
The falcon cannot hear the falconer ;
Mere anarchy is loosed upon the world
The blood dimmed tide of innocence is loosed, and everywhere
The ceremony of innocence is drowned.
The best among us lack all conviction, while the worst
Are full of a passionate intensity »

Au cours du séminaire, nous examinons vraiment la capacité du soi cognitif à « sponsoriser » et à bénir et transformer tout ce qu’ il rencontre. Pour faire ceci, nous soulignons le fait qu’une des propriétés principales du soi cognitif de l’individu est en train d’être touchée. Cela peut sembler étrange, mais pensez à la façon dont vous rencontrez votre animal de compagnie quand vous rentrez du travail, ou à la façon dont vous approchez un enfant de deux ans. Nous nous rendons compte intuitivement que notre esprit doit s’étendre et « touchez » l’animal de compagnie ou l’enfant en bas âge afin d’établir le rapport et la communication. Tandis que nous nous permettons cela avec des animaux de compagnie et des enfants en bas âge, nous avons en quelque sorte une règle qui dit que ce n’est pas poli de faire cela avec des adultes ou avec un projet créateur. Nous devons rompre cette règle inutile pour mettre ainsi l’énergie de notre vie en lien avec tout ce que nous faisons, et faire ainsi une différence créatrice.

Q : Vous êtes un praticien engagé dans l’art martial japonais de l’aïkido. Est-ce en rapport avec l’idée d’étreindre votre adversaire ?

S.G. Hé Bien, pas tout à fait. Comme pour n’importe quel principe créatif, il convient de trouver un point central qui permette une utilisation équilibrée de principes complémentaires. L’Aîkido constitue une grande métaphore pour examiner comment nous pouvons répondre aux attaques intenses d’une manière créatrice. Nous commençons par le principe, « se laisser tomber dans le centre, s’étendre dans le champ». Cela signifie que vous ne vous accrochez pas aux attaques, mais que vous rentrez dans votre centre et puis dans l’espace qui vous intègre avec votre attaquant. Vous appliquez alors des principes tels que « la distance appropriée», qui signifie être ni trop proche ni trop éloigné ; « une extension détendue », qui signifie être totalement concentrée mais pas musculairement bloqué ou rigide, « le mélange, » qui signifie rejoindre le modèle de l’attaque pour pouvoir le réorienter ; et « rester connecté», qui signifie ressentir le point de raccordement entre vous et votre partenaire- par exemple où il vous saisit – comme centre partagé pour « donner et recevoir » des informations à un niveau profond. L’idée globale est d’accueillir l’énergie de l’attaquant comme une opportunité d’apprécier une relation et d’aller vers un certain endroit intéressant. Je pense que c’est une croyance de base du soi génératif. De nombreux entraînements sont nécessaires pour pouvoir faire cela avec des énergies difficiles et perturbatrices. Cela implique une énorme base de compétences, et pas simplement une philosophie générale. C’est pourquoi nous nous exerçons. Et c’est pourquoi nous faisons ces ateliers.

Q : Est-ce que ce sont là les aptitudes de base du Soi Génératif ?

S.G. Oui, fondamentalement. En fait, je regroupe les aptitudes du Soi Génératif en trois principes de base.
Le premier est le « centrage » dans le soi somatique. Ceci implique un lien et une communication profonde avec votre corps. Savoir se calmer, rester détendu sous l’effort, se connecter avec un autre être somatique en laissant des expériences traverser votre corps, de façon à activer des schémas archétypaux de savoir et de réponses. Ainsi vous pouvez penser plus clairement, de façon moins anxieuse, et moins négative. Nous disons que lorsque vous êtes centré, les bonnes choses tendent à se produire ; et quand vous n’êtes pas centré, les mauvaises choses tendent à se produire.

La deuxième catégorie de techniques est en rapport avec la « connexion au champ». Ce principe concerne toujours l’ouverture à quelque chose de plus grand que le problème. Quelque soit l’objet de l’attention de l’esprit, un souvenir, une pensée, une image, une douleur, vous pouvez vous entraîner à systématiquement élargir votre focalisation un peu au delà de cette attention. Vous pouvez ainsi traiter quelque chose sans être emprisonné par elle. Par exemple, si quelqu’un vous critique, l’esprit tend à se bloquer sur cette personne. Il pense alors en termes, soit de « combat » (attaquant la personne) ou de « fuite » (se retirer de la conversation). Quand vous vous formez à élargir votre champ, par exemple en vous focalisant doucement au delà ou derrière la personne tout en vous centrant, vous pouvez sentir l’attaquant sans être verrouillé dans son « induction négative». Vous pouvez être avec un problème sans devenir le problème. Le champ est une autre manière de parler de « l’inconscient créateur». Il peut ressembler aux 3ème et 4ème positions de perception de la PNL. Certains éprouvent le champ en étant en contact avec la nature, ou au cours de la prière, ou en jouant de la musique, ou au cours de l’acte sexuel, ou en présence d’un ami. Nous insistons sur le comment apprendre à accéder à ce champ créateur, non seulement dans des circonstances positives, mais également dans des circonstances négatives. Nous disons que quand vous restez relié au champ, les bonnes choses tendent à se produire ; quand vous vous contractez le champ, les mauvaises choses tendent à se produire. Avec des clients, n’importe quel blocage peut être perçu comme si il y avait perte de contact avec le champ créatif et avec leur centre.

La troisième catégorie de pratiques est en rapport avec le «sponsoring cognitif». Nous envisageons le Soi cognitif comme un pont entre le centre et le champs. Sa responsabilité principale est d’introduire les dons et la bonté du Soi dans le monde, tout en apportant la bonté et les dons du monde au Soi. Il est comme une sage-femme. Il est la base de la créativité. Nous avons déjà parlé de la façon dont le Soi cognitif pourrait être construit et utilisé de tant de manières. Nous soulignons son utilisation créatrice en tant que sponsor de la vie. Nous envisageons de nombreuses techniques pour sponsoriser la vie. Au cours de la formation, nous demandons à des participants d’identifier des domaines dans lesquels ils veulent sentir leur propre capacité au génie – et de voir comment incorporer ces principes du centrage, de la connexion au champ et du sponsoring cognitif.

Q : À votre séminaire il y aura de nombreux coachs et thérapeutes – comment voyez-vous cela ?

S.G : Hé bien, mes formations sont ouvertes aux deux, et j’attends cela avec intérêt. Je vois plus de similitudes que de différences. Ce travail n’est pas réparateur ou diagnostic, il ne consiste pas à dire de façon intellectuelle aux gens ce qui ne va pas en elles. Il ne consiste également pas à simplement suggérer un comportement ou des changements cognitifs. Il consiste à aller profondément au noyau de son centre créatif, à un endroit au delà des problèmes ou d’autres cadres cognitifs, pour ainsi apprendre à dresser les chevaux sauvages de la créativité profonde, en « murmurant aux chevaux». Il se focalise vraiment sur des questions de performance, c’est-à-dire, comment et où voulez-vous être différent dans le monde ? et puis il vous invite alors à prendre l’itinéraire du génie pour y arriver.

Q : Que pensez-vous de la PNL aujourd’hui ?

S.G : Bien, je ne pense pas que vous pouvez parler de PNL au singulier. Il y a de nombreuses et différentes descriptions de la PNL, il me semble. Cela semble sain et inévitable. Je pense qu’une des manières de se tromper de certaines PNL était d’insister sur une approche réductionniste et structurelle de l’organisation du cerveau, et de dire que ce comportement a tel signification et tel autre signifie cela et ainsi de suite. Je sais que deux « parrains » de la PNL, Bateson et Erickson, se retourneraient dans leurs tombes devant une telle approche. Elle semble également si contraire à l’énergie initiale de Bandler et de Grinder. Je veux dire que ces types faisaient feu de tous bois et s’enflammaient vraiment pour toute description leur permettant d’obtenir une connexion plus profonde, là où vous pouviez créer et vraiment jouer. C’est la prise de conscience que chaque théorie est au mieux un poème, et pas une description littérale.
Les gens aiment ce qu’incarnent Robert, Judy, et Julian Russell, selon moi, les compréhensions les plus utiles de la PNL. Comme support, le poème d’une expression créatrice. Quelque chose de toujours dans le flux, en changement, et pas incrusté dans la pierre. Ces approches, je les aime et les apprécie vraiment.

Q : Avez-vous entendu parler du travail d’Arnie Mindell ? Il parle également abondamment du « du champ » et a beaucoup écrit sur le Shamanisme, le Bouddhisme Zen, le Tao et Jung. Il parle également abondament de l’activisme social.

S.G. – Je pense que Milton qu’Erickson, que je considère comme mon principal professeur, était fondamentalement un shamane. Il rentrait dans des transes très profondes, profondément dans d’autres mondes comme profondément dans le monde du patient, et il utilisait l’inconscient des guérisons créatrices. J’ai débuté dans la tradition de Milton, mais cela a été une long chemin pour moi. Je ne suis pas sûr que ce qu’il faisait si profondément était émotionnellement sain. Je sais qu’il n’était pas bon pour moi de vivre aussi profondément dans la transe, et d’avoir cela comme style de vie. Vous savez, je pense qu’un bon nombre de gens ont accès à ces états en raison d’une profonde blessure- avec une ouverture profonde sur l’inconscient à partir d’une intense blessure -et ils deviennent des guérisseurs incroyables pour d’autres. Mais dans mon cas, et peut-être pour Milton, je ne sais pas, cela m’a éloigné de ma propre guérison. Le travail sur la Relation à Soi que j’ai développé en dehors de mon travail sur l’hypnothérapie éricksonienne, constituait une tentative pour introduire un peu plus d’équilibre dans le processus. Marchant et travaillant dans les deux mondes-le monde des profondeurs et le monde de surface-en même temps. En trouvant le point d’équilibre entre ces deux mondes, et en ayant des aptitudes qui permettent un échange créatif à travers les seuils. Ce que je pense, c’est que c’est vraiment un processus créatif.
Je pense que chacun devrait soigneusement considérer ceci . L’Aikido a été pour moi une sorte d’éducation très différente de celle d’Erickson. En restant dans le champ, dans une connexion sensuelle avec le mouvement et les pulsations, tout en continuant à recevoir et être relié à l’autre monde…il m’emmène à un endroit quelque peu différent. Comment situer le Soi pour vraiment sentir cette intersection entre les deux mondes et faire une promenade dans tous les deux ? – il n’y pas une seule manière de faire cela.

Interview réalisée par Siam Pope, pour le compte de PPD UK avant le séminaire de formation de février 2003 sur le thème « Génie et soi Génératif » et co-animé par Robert Dilts et Steve Gilligan.Article publié par PNL.Repère le 17/12/2004

Informations sur la formation de Stephen Gilligan

Stephen Gilligan anime tous les deux ans chez Institut Repère une formation certifiante de 12 jours (3 fois 4 jours) sur l’hypnose éricksonienne. L’art de l’hypnose éricksonienne.

Consulter nos formations du parcours PNL :

La formation de Stephen Gilligan : L’art de l’hypnose éricksonienne

La formation de Stephen Gilligan et Robert Dilts : Coaching génératif

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