Trois rabbins assis à l’arrière d’un taxi New Yorkais se dénigrent à qui mieux mieux :
Quand je pense à Dieu, je me dis que je ne suis vraiment pas grand chose.
Le deuxième surenchérit :
Si tu es si peu de chose, alors moi décidément je ne suis rien !
Au troisième d’ajouter :
Mais si toi tu n’es rien, je suis moins que rien, je suis au dessous de tout !
C’est alors que le chauffeur de taxi noir se retourne pour leur dire :
Messieurs, si vous dites que vous n’êtes rien et même moins que rien, que puis-je être moi ? Il n’y a pas de mots pour me décrire, je n’existe pas !
Les trois rabbins se regardent alors et s’écrient :
Mais pour qui il se prend celui-là ?
Les voies du culte du moi sont nombreuses et les plus évidentes ne sont pas nécessairement les plus fortes, au contraire.
Se dénigrer, c’est encore parler de soi, comme s’il était impossible d’échapper à ce culte.
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