Une fractale est une figure géométrique complexe qui peut être subdivisée en parties, dont chacune d’elle constitue un exemple réduit de l’ensemble. Si vous détachez un bouquet d’un chou-fleur, vous obtenez un chou-fleur en réduction. Leurs structures se reproduisent, dans certaines limites, quelle que soit l’échelle où on les examine. Dans les années 60, Benoît Mandelbrot décrit mathématiquement ces formes et les baptise fractales.
Quelles fractales avez vous mis au plus profond de vous même ? Celles du bonheur ou celles de la peur, du doute ou de la confiance ?
Les fractales sont de belles métaphores du fonctionnement de nos croyances. Un schéma simple de la structure profonde (comme une distorsion ou une équivalence complexe) peut se généraliser en schémas complexes au niveau de la structure de surface. La recherche de ce schéma simple à la source de toute répétition des comportements d’une personne est ce que l’on recherche dans un coaching, une thérapie ou la modélisation. Un schéma simple qui est nécessairement présent pour expliquer des comportements souhaités ou non souhaités, et qui constitue la différence qui fait toute la différence.
Dans le champ de la programmation neuro-linguistique (PNL), le Méta Modèle de J. Grinder et R. Bandler est une illustration de “fractales linguistiques” L’identification de distinctions linguistiques fondamentales et un questionnement simple permettent à un praticien PNL entrainé (par exemple qui vient aux soirées pratiques de PNL !!!) , de produire des interactions verbales très élaborées, proches de celles d’un thérapeute très expérimenté. Pour en savoir plus sur la métaphore des fractales dans le fonctionnement des individus, vous pouvez lire l’article de Robert Dilts “Fractales et comportements humains”
